trigger warnings: mention de meurtre, violence, alcool, trafic et prise de stupéfiants
prénoms, nom : wheeler, dernier fils de cette famille parfaite, lignée du coin bien connue, cinq mômes si différents les un que les autres, le nom qui semble gravé dans les landes du yellowstone, patronyme puissant dans le coin, qui assure la sécurité des murs de la ferme familiale.
arthur, baptême royal aux échos celtes et bretons, couronne
d’épines qui trônerait plutôt sur sa tête à lui, patronyme poussiéreux d’un ancêtre inconnu, promesse d’un fils à son père.
james, second prénom en hommage à la mer, emprunté à un de ces navigateurs célèbres dont sa mère s’amusait à lui compter les récits, lorsqu’il était encore enfant.
âge : trente-cinq ans, déjà, et pourtant parfois l'impression de n’être encore qu’un
gosse sortant tout juste de l'enfance, incapable de savoir comment gérer, lui comme sa vie. vie déjà synonyme de
galères et d’échecs, les dernières années gâchées derrière les barreaux de la prison du comté.
date et lieu de naissance : né sous la chaleur de l'été,
15 août bien entamé qui vu le chiard pointer le bout de son nez sur les terres ancestrales du
montana nationalité, origines : américain pure souche, bannière étoile fièrement brandie, malgré les ancêtres
européens qui ont menés sa famille de l'autre côté de l'atlantique, origines lointaines aux accents écossais, italiens irlandais et anglais.
genre & pronoms : homme cisgenre, pronoms masculins.
orientation sexuelle : bisexualité non assumée, de celles que l’on cache entre les draps froids des chambres de motel miteux du coin.
secret farouchement gardé depuis sa quinzième année, qu’il ne révéla qu’à sa grande soeur et ses amants. les hommes qu’il observe alors avec une gêne innommable, de ses yeux bleus se plait à s’imaginer un jour pouvoir soutenir leurs regards. les femmes, qu’il aime tout autant, attirance tellement plus simple qu’il se plait à se perdre dans leurs bras, s’amuse à les séduire sans réfléchir, brise les coeurs à défaut de leur glisser la bague au doigt.
occupations : ancienne étoile montante du rodéo, avenir tout tracé qui ravissait déjà le père et la mère. a tout foutu en l’air dans une énième recherche d’adrénaline, est revenu la queue entre les jambes au ranch familial pour y racheter sa conduite et s’y refaire une place. il est aujourd'hui
dresseur de chevaux pour l'industrie du cinéma, éduque les bêtes les plus réceptives de la naissance à l’âge adulte et les accompagnent jusque sur les plateaux des plus grands studios, s’amuse à pavaner et raconter ses histoires hollywoodiennes quand il revient en ville.
situation financière : fauché, à jamais été fichu d'économiser un penny, moultes dettes qui croulent sur son dos, salaire qui s'envole bien trop vite malgré les sommes rondelettes qu'il se fait depuis son retour en ville.
état civil et situation familiale : célibataire, adepte de ces relations qui font mal, brise des coeurs et souffre à son tour, enchaîne les relations sans fin heureuse et ne cesse de répéter les mêmes schémas néfastes pour lui, comme pour eux. ne se fiancera
plus jamais, pas après l'erreur de ses dix-neufs ans.
dans le Montana depuis : coincé dans ce trou perdu de puis le berceau,
enfant du pays dont la plupart se seraient surement bien passé. a rêvé bien des années de
partir loin d'ici, à fini par se résoudre qu'il finira surement ses jours entre les autres murs de l'école d'équitation wheeler,
billings pour éternelle prison.
traits de caractère : colérique ― impatient ― protecteur ― fier ― impétueux ― attentif ― franc ― réservé ― hautain ― travailleur ― baratineur ― moqueur ― loyal
hors jeu — pseudo, prénom, pronoms mustang ; ju ; pronoms féminins
faceclaim : jack o'connell
crédits : uc.
groupe : billings
pré-liens/inventés pré-lien de
@elyn wheeler.
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mooboardpas du matin ―
in beer there is freedom ― denim jackets ―conduit un pickup modèle 1986 ford F-150 XL rouge et blanc ―
it was my dad's ― a collé un sticker venant d'hawaii à l'arrière ―
never been there but it was cute and a random child gave it to me ― déteste regarder la télé ― coffee & cigarettes ―
i'll quit smoking next month ; never will ― crasse sous les ongles ―
untamable ― aime partir camper les week-ends avec sa nièce ―
i could have been a fucking star you know ― l'impression de toujours tout foirer ― one night stand collector ―
did you know i slept with taylor swift once ? ―
bobard sur bobard ― très doué aux fléchettes, passe ses samedis soirs à gagner le tournoi du bar du coin ― wollen flannels ―
hates cutting his hair ― porte ses clefs à son jean ―
ariat boots & brown stetson;
favoritesmovie. the hateful eight (
tarantino)
music. daytona sand (
orville peck)
book. of mice and men (
steinbeck)
tv show. breaking bad (
life imitates art)
video game. the last of us (
only played once)
food. carbonara pasta (
elyn's)
season. spring (
cause flowers are far too pretty)
animal. wild coyote (
bad omen just like him)
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chronologie1989. naissance d'arthur, dernier né de la famille wheeler.
1995. turbulent, le petit se meut en un enfant compliqué, aux crises de colères fréquentes bien qu'imprévisibles.
1996. arthur démarre le rodéo, volonté d'un père de calmer le caractère turbulent de son fils. quelques mois plus tard il remporte sa première compétition. (7)
2001. on voit en lui la prochaine étoile du barrel racing. les sponsors s'arrachent le gamin, et on lui prédit une immense carrière. il amasse les dollars, et commence un sport étude, passant plus de temps à l'écurie que sur les bancs de l'école. (12)
2004. accident. le gamin resté alité pendant des semaines. on le défend de reprendre le rodéo. arthur abandonne sa carrière. violence accrue lorsqu'il quitte le centre de réeducation, il abandonne presque l'école, se réfugie dans la consommation de drogue en faisant confiance aux mauvaises personnes. (15)
2005. arthur devient tempête. désireux de se faire de l'argent facilement, il tombe dans le trafic de stupéfiants, zone près des bars le soir après avoir fait le mur sans se faire prendre. pour garder la face auprès de sa famille, il assure les remplacements de dernière minute et donne des cours d'équitation de temps à autre (16)
2007. espérant redonner une raison d'avancer à son fils, arthur commence à travailler à plein temps comme professeur d'équitation pour les enfants de l'école de ses parents. il y rencontre lori nouvelle élève, fraichement débarquée de los angeles.
2008. il fait mine de s'être calmé, et dans la même foulée il se fiance avec lori. ses parents refusent cette union. arthur s'en fiche, menace de partir à l'autre bout du pays avec sa dulcinée et obtient miraculeusement le soutien d'elyn. rupture des deux tourtereaux huit mois plus tard. (19)
2009. grâce au père de lori, avec qui il est resté en contact, il commence à donner des leçons d'équitations privées pour des riches de la côte ouest. (20)
2011. arthur commence à éduquer des chevaux considérés comme 'compliqués'. il y trouve une forme de refuge, et oublie peu à peu sa carrière brisée. (22)
2015. rencontre avec jude carlson dans un bar. les deux entament une relation quelques semaiens après. la même année, grâce à un contact, il donne devient consultant et spécialiste équin pour un film western indépendant tourné dans la région. c'est les portes d'ouvrent et arthur commence à travailler pour différents tournages. (26)
2016. départ pour los angeles pour travailler deux mois sur le pilot d'une nouvelle série western. on apprécie son travail et sa personnalité, et arthur rempile, fait des allers-retours entre la ville des anges et sa terre. (27)
2017. rencontre de beck wallace, arthur tombe amoureux. en octobre on retrouve le corps sans vie d'andrew sur le terrain familial. ébullition. (28)
2019 beck rompt avec arthur, ne supporte plus ses éclats de colère et ses décisions idiotes. plus tard, bagarre devant une boîte de nuit de la ville voisine, arthur ayant suivi celui qu'on lui prétendit être l'assassin de son frère. arrêté, il est pris en possession de plusieurs pochons de cocaïne. jugé quelques jours plus tard, il est condamné à 4 ans de prison ferme, et 2 de sursis pour vente et possession de drogue. (30)
2023 mois d'avril qui pointe le bout de son nez quand il retrouve enfin sa liberté. profil bas, il rentre au ranch la queue entre les jambes, cherche à ne pas attirer l'attention. au mois de septembre, il reprend doucement son travail, après avoir simplement donné des cours les six derniers mois. (34)
2024 grâce à une ancienne connaissance, arthur recommence à travailler sur des tournages. des suites d'une presque overdose, il retourne vivre chez elyn, sait qu'il n'est pour l'instant pas capable de vivre seul.
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quotei'm gettin’ tired of this earth, but they say some stones are better left unturned
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excerpts20 $. c'est comme l'attrait d'un jeu dangereux. coeur qui bondit quand il aperçoit ses cheveux blonds sortir de la jeep qui se gare devant le ranch. il se sent gamin, aurait presque attendu le jour de ce jour là toute la semaine. des regards, des sourires, main calleuse qui se pose intimement sur la sienne pour l'aider à serrer sa selle.
would you be okay to give me one private lesson arthur ? chance offerte sur un plateau, début de toutes les offenses, roméo et juliette des temps modernes. 2
0$ for a lesson, special offer for you, lori. à l'abri des regards, il lui vole un premier baiser, lui promet déjà plus grand que ce qu'il ne peut offrir. et pourtant, c'est une sincérité presque obscène qui lui vrille la poitrine, alors qu'il s'enivre désormais d'elle. i'll love you forever. qu'il lui glisse à l'oreille mensonge éhonté. huit mois avant qu'il lui glisse la bague au doigt. huit mois encore avant qu'ils ne s'acharnent, ne s'abîment et ne se déchirent.
go away. qu'il lui crache au visage tandis qu'il tape une nouvelle fois dans le bois de la grange.
you're such a bastard.bagarre. poing dans le visage de celui qu'on lui indiqua comme l'assassin du frère. arthur se veut féroce, frappe sans réfléchir, l'idée de vengeance lui ravageant l'esprit. il l'a suivit pendant des heures, s'est retenu d'lui coller un balle dans le crâne devant tout le monde. à préféré ça à l'ancienne,
like a man. devant la boîte de nuit, les deux se battent sous les cris des autres poivrots.
there's murder on the dancefloor. musique qui lui vient ironiquement à l'esprit .bientôt, les sirènes bleues et rouges éclairent sa peau rougie des coups reçus à son tour. face contre le bitume, les menottes lui sont passées autour des poignets alors qu'il hurle qu'on le laisse finir ce qu'il a commencé, crache sur le corps abîmé de celui qui gît au sol lorsqu'on l'emmène dans la voiture. on le fouille au poste, pochons de c qu'on retrouve dans sa poche arrière.
so the wheeler's son's an addict ? il a du mal à se tenir, scène cauchemardesque, tape la vitre sans teint et fracasse les chaises en métal contre les murs de la cellule où se déroule son interrogatoire.
he knows. sait pertinemment ce qui l'attend.
you're fucked son, i'm sorry. adjoint du shérif qui semble presque se rappeler la canaille de gamin qu'il était, mâche son crayon d'un air triste.
snow angel. trigger warnings: mention et consommation de drogue et d'alcool ++ nuit noire, et autour de lui rien qui ne fait sens. écrasé contre son canapé miteux, au cuir aussi ravagé que lui, il attend d'apercevoir enfin le reflet des phares dans l'allée de sa pauvre cabane.
misery without company. solitude lancinante, presque un manque de la régularité de la taule, alors qu'ici il a l'impression d'être jeté en patûre au plus belliqueux. le loup est devenu agneau, se meut en animal blessé lorsque le rail de trop a fait place à l'index contre les gencives, et que le mal de tête se meurt en une misère nouvelle. vieille ennemie qui revient, l'addiction comme solution, alors qu'il s'était promis, à lui même comme à elle, d'enfin arrêter. la porte s'ouvre, et la silhouette d'elyn se dessine dans l'entrée. il sait qu'elle seule ne la jugera pas, qu'elle seule saura quoi faire, comme elle l'a toujours fait depuis vingt ans.
my nose is burning. seule chose qu'il arrive à murmurer lorsqu'elle lui adresse un mot qu'il n'arrive même pas à entendre, bouteille de rhum presque vide qu'il renverse en tentant de se relever. titube, s'accroche à son seul pilier.
don't leave me alone elyn. qu'il pleure presque contre elle.
i'm sorry for all the damage i've done to you. dernière prière.
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othersanimals. gamin de la nature, a grandi entouré de chevaux et autres bestioles, décida d'en faire tout autant à l'âge adulte. arthur possède plusieurs chevaux, sagement rentrés dans les écuries familiales. deux en guise de montures de coeur :
lennie, un american quarter horse (7 y.o, buckskin) nommé ainsi en hommage à son livre favori et une jument apaloosa,
pattie (
10 y.o, bay roan) pour l'amour que sa mère portait à pattie smith.
never been a mustang kinda guy.. possède également un berger australien,
milton.
my best bud. récupéra le chien d'andrew après sa mort,
jackson, berger hollandais au fort caractère. confia les bêtes à elyn avant de partir derrière les barreaux, repose ses angoisses auprès d'eux désormais.
tattoos. sale gosse qui fit toutes les conneries possible, se tatoua bien avant l'âge l'égal pour se pavaner dans les couloirs du lycée. regrette aujourd'hui pas mal de ses idioties marquées à l'encre sur sa peau tannée, le pire restant le '
save a horse, ride a cowboy' gravé contre son aine. une croix sous la gorge, à l'emplacement où tombent habituellement les pendentifs des croyants chrétiens. un taureau, deux pistolets sur le bras gauche, dans un style traditionnel. un couple dansant (
a devil and an angel), une botte entourée d'un serpent sur le bras droit. possède également une petite scène de rodéo au dessus de la côte, en hommage à ce temps
révolu.
necklace. toujours le même autour du cou, celui qu'andrew lui aussi portait jusqu'à son dernier souffle, présent de sa mère qu'il reçu à sa communion. à sa mort, il fut offert à arthur, alors qu'il pleurait comme un enfant la perte d'un frère chéri, modèle, adulé. poisson en or qui trône entre ses clavicules, et qu'il n'enlève jamais.